Pour bien des personnes « recevoir » est facile. Mais c’est bien plus subtile que ça !

 J’ai entendu dire  »Si on me donne, je prends ! » Hum… c’est basé sur une méconnaissance importante d’une loi essentielle d’attraction-répulsion ! Et cette personne ne reçoit pas grand chose réellement, puisqu’elle attend qu’on lui donne… pour prendre ! Déjà prendre est un acte Yang, et cela signifie qu’elle est dans le désir inconscient bien sûr, du moins je l’espère pour elle, d’aller puiser chez le « donneur » plus que celui-ci n’a l’intention de donner ! Et dans l’inconscient toujours, les vibrations envoyées par le « demandeur » sont celles du manque.

Les deux parties en actions sont dans une même énergie ! Il n’y aura pas d’échange.

Pour travailler sur le Yin, il faut bien comprendre le processus de la combinaison subtile du Yin et du Yang.

Dans le Taï Chi, ce magnifique symbole circulaire, noir avec une pointe de blanc, et blanc avec une pointe de noir, le mouvement de la vie est lancé. Mais les deux doivent être en équilibre !

S’il y a des distorsions, tout est faussé. Du moins, tout est parfaitement imparfait …! Mais le Qi circule et rétablit l’équilibre, ou il ne circule pas et la maladie s’installe.

OK ! je veux recevoir les cadeaux du Père Noël !..

Hum ! Quoi de plus regénérant que de se sentir libre de joyeux !

Cela rend aussi léger que le vent qui souffle, et permet ainsi de suivre le courant en répandant la joie sur notre passage … On est tous d’accord pour ce programme ? Alors, au lieu de centrer votre regard sur tout ce qui ne va pas, ce qui est à la portée de n’importe qui, décidez de devenir ce « cocréateur » de votre vie !

Car la vie est ce courant d’énergie qui vous portera d’une manière certaine ce que vous regardez ! Si vous regardez le vent comme un intru qui vous perturbe, vous donne froid, et glace vos os, vous confondez avec les courants d’air ! Les courants d’airs ne sont rien d’autre que des vents contradictoires, « pervers » qui oui,  sont très perturbants ! Mais sachez que le vent qui souffle dans une direction donnée, lui, est bénéfique, en fonction du sens que vous lui donnez.

Ah, qu’il est important de saisir toute la portée de l’intention.

L’automne est bien la saison du vent ! De la respiration, de l’élément air, qui porte le mental, donc nos pensées.

Sans conscience, sans regard élargi, nous subissons plutôt que nous ne vivons. Si nous ne savons pas choisir ce que nous voulons, nous sommes soumis à ce que d’autres veulent pour nous ou de nous ! Car c’est ainsi ! nous sommes énergie en mouvement, et tous interconnectés !

Et un des ingrédients à dégager dans des relations difficiles entre mental, et émotions, (l’un entraînant l’autre) c’est la culpabilité. Celle-ci est ce poison basé sur une supposition : Nous sommes responsable du mal-être de l’autre, des autres. C’est une excellente excuse pour fuir nos propres responsabilités dans nos propres choix ! Et se donner aussi un pouvoir que l’on n’a pas !! (« les enseignements d’abraham » en parlent très bien dans « la loi d’attraction » d’Esther et Jerry Hicks)

Le vent et l’eau, c’est le Feng shui . Célèbre pour ses résultats qui paraissent s’apparenter à la Magie tant c’est merveilleux de mystère, dans tout ce qui concerne le monde de la réussite. Appliqué au corps humain, c’est du Qi-Gong !

Voici un mouvement interne de Qi-Gong que vous pouvez faire et refaire, à loisir, pour vous dégager des entraves qui vous empoisonnent.

Beaucoup à dire sur le sujet !

Souplesse, force, douceur, amour, tout s’exprime avec la main, par le geste qui parle ! Et chaque doigt dit quelque chose.

Un test simple à faire pour mieux se connaître : En partant des poings fermés, levez successivement chacun des doigts en tenant repliés tous les autres. Pas si facile n’est-ce-pas ? C’est plus facile si vous vous aidez du pouce pour tenir tous les doigts en dehors de celui qui se dresse.

Sachez que les Chinois avisés s’entraînent chaque jour à faire cet exercice une centaine de fois, car ils savent que c’est en lien avec le bon état de leur cerveau !

On connait tous cet émerveillement éprouvé par la vue d’une toile d’araignée scintillante au soleil, et qui retient les gouttes de rosée matinales… Quel travail magnifique, qui peut nous assimiler à ce que nous faisons nous même, mais sans le savoir, chaque fois que nous pensons !

Nous sommes donc tous ces grandes fileuses, mais qui nous faisons des noeuds, car totalement inconscients de ce que nous faisons, les trois quarts du temps ! Et c’est bien là le problème !

Imaginez : Chaque pensée qui dure plus de 17 secondes –  fil de toile d’araignée – induit une – émotion goutte d’eau de rosée – qui va créer un chemin vers un point de contact sur la toile.. et ainsi de suite, tissant, avec des vibrations similaires de véritables chef d’oeuvre, quand les pensées sont belles, ou de vrais nids à poussières quand elles sont confuses et lourdes !

Simple image évidemment ! pour vous aider à dégager votre intention d’être connectés à ce que vous souhaitez expérimenter, plutôt qu’à ce que vous n’aimez pas vivre ! qu’êtes-vous en train de créer pour votre avenir ?

Les chinois ont compris depuis très longtemps l’importance des sons, puisque dans le Qi-Gong chaque organe vibre à un certain son. Pour les poumons, en automne c’est le son « ssssssss… »

Une sorte de sifflement qui vient chatouiller le bout de la langue, et qui fait entendre le son ‘i’ , qui, lui représente l’intention. Une intention positive clarifie l’esprit du Shen, et une harmonie se place rapidement dans tout le corps.

Pour que le Qi circule, il est nécessaire de bien comprendre cette formidable énergie en mouvement permanent que sont le célèbre couple « Yin et Yang ».

Vous savez bien maintenant les caractéristiques du Yin – l’obscurité, le froid, l’intériorité, le féminin, la souplesse, ce qui est réceptif - et le Yang – la lumière, la chaleur, la force, l’extériorité, la rigidité, tout ce qui s’impose, le masculin.

Ces deux principes du Yin et du yang se retrouvent dans tout, et en particuliers chez l’homme et la femme. Mais que nous soyons homme ou femme, les deux sont présents en nous.

Lorque nous nous exprimons d’une manière claire et forte, nous activons le Yang. Lorsque nous nous taisons, et que nous réfléchissons, nous sommes dans le principe Yin. En s’observant, on constate rapidement l’excès, ou le manque, et on peut plus facilement y remédier.

Un peu de respiration !

Une excellente image de Nancy Zi pour initier à la respiration ventrale est celle du compte-gouttes.

C’est une métaphore qui peut permettre de conceptualiser quelque chose de très difficile à exprimer quant à la circulation de l’énergie dans le corps, par le souffle.

Et surtout cela donne toute l’importance de conscientiser l’emplacement de Tantien, son rôle de soufflet, et de « coeur-noyau » qui aide à affronter tous les défis, tant physiques, qu’émotionnels. Tout être humain, avec un peu d’entraînement, est capable d’ouvrir les yeux sur une dimension totalement nouvelle de l’existence.

Vous savez maintenant situer Tantien, 3 doigts environ sous le nombril. Vous savez aussi que c’est le point central d’équilibre de tout le corps, mais que vous ne le verrez jamais de vos propres yeux ! Imaginez une sphère orangée, translucide. Cette sphère est situé dans la poire d’ un compte-gouttes imaginaire, dont le bout de la pipette se trouve à la jonction du nez et de la gorge.

C’est regarder la lune dans le ciel, qui revient d’une nuit profonde où même les étoiles se sont tûes !

Bien des traditions offrent leurs légendes pour cet instant magique s’il en faut où un pont est jeté entre cette belle terre où la forme donne ses points de repère, et ce monde mystérieux invisible qui nous inspire les plus beaux rêves et les plus grosses terreurs, dans la puissance d’influences diverses, dont celle de nos ancêtres, bien inscrite dans la lune !

Une nuit donc où on nous dit qu’il faut veiller, écouter, ressentir, faire partir… On dit chez les Celtes que le visage de la Déesse apparait dans la nature, avec son pouvoir de transformation et de régénération. Grâce à cette période elle nous enjoint à laisser ce qui ne sert plus, et à nous préparer à de nouveaux commencement. Nous célébrons la Déesse de la mort, la vieille lune noire, qui se nomme Morrigan pour les Irlandais, ou Nantosuelta en Gaule . Nous acceptons la mort de tout ce qui est matériel, y compris des corps, dans le respect des ancêtre que la Déesse a amené dans son giron pour une autre ronde…

C’est une fête ! On allume les bougies, et on éclaire nos parties sombres.. On donne de la douceur, les bonbons aux enfants qui frappent à la porte en sont un symbole ! On fait la paix en soi… On éclaire ces ombres chinoises, qui disparaissent sur le mur de notre inconscient !