Image Qi-Gong de l’intention : changer de regard

C’est vrai, on sait bien que le regard que l’on pose sur une chose, rend cette chose vivante ! Oui, mais quel regard reste centré sur une vision dénuée d’interprétation ?

Nous sommes en perpétuelle recherche du bonheur, et ne le trouvant que rarement « à l’extérieur », nous sommes bien obligés de convenir qu’il nous appartient en propre. Et si donc nous décidions d’orienter notre regard sur ce que nous apprécions déjà en nous, c’est-à-dire dans cet espace de souvenir merveilleux saisis au vol des expériences de l’enfance par exemple, où de tout ce qui nous a fait vibrer de joie, nous nous maintiendrions dans un état de bien-être qui serait proche du bonheur.

Nous pouvons donc affirmer que nous sommes des vibrations, que tout être « vivant » est vibrations, et qu’en choisissant un vision qui nous plaît, nous l’attirons dans notre expérience.

C’est ce qu’on appelle la loi d’attraction.

Dans le Qi-Gong, nous travaillons tout particulièrement avec l’intention. Et nous utilisons la vibration de la couleur dans la visualisation. Par exemple, la couleur verte qui est celle du foie, pourra rééquilibrer non seulement l’organe mais aussi les yeux, qui en sont les fenêtres.

Exercice de qigong :

En plaçant les paumes des mains, face aux yeux, et en envoyant consciemment un flot de lumière verte, vous amènerez une énergie rafraîchissante et le sens profond d’un regard dénué de colère. Vous pouvez aussi mettre une croix et les diagonales en symbole des 8 forces du Pa Koua, dans les angles internes et externes, au-dessus et au-dessous des paupières.

pakua Qi Gong de lintention : changer de regard

En faisant cela régulièrement vous vous détendrez, et commencerez à poser un regard différent sur les choses, ou sur les gens. Vos propres vibrations changeront, et vous verrez de plus en plus de belles choses, à l’extérieur, autour de vous, car vous êtes le créateur de vos expériences, et la vie peut vous le démontrer, au quotidien !

« Ce n’est pas ce que nous avons, mais bien ce que nous apprécions qui constitue notre abondance » John Petit-Senn